LES DIFFERENTES ETAPES DE MISE EN VENTE
La décision de vendre un bien immobilier est parfois une décision difficile à prendre ! En effet les biens immobiliers qui abritent notre famille ou les personnes qui nous sont le plus chères, sont bien souvent des lieux « chargés d’émotions ». Nous y avons vécu, nous y avons consacré beaucoup d’efforts tant financiers que personnels, que la décision de ventre son logement est parfois un véritable déchirement.
Pour que cet « évènement » se déroule de la meilleure des manières, il convient de respecter certaines règles et certaines précautions, gagent d’une transaction parfaitement réussie.
La première d’entre elles, consiste évidemment à s’assurer que rien ne s’oppose à la vente de votre bien. De prime abord, la réponse peut paraître évidente, mais en y réfléchissant en détail elle ne l’est pas toujours. Parfois, et en fonction de votre situation personnelle (union libre, PACS ou mariage), le consentement de votre conjoint pourra être requis bien que vous soyez seul propriétaire de votre logement. D’autre fois, selon le moyen dont vous êtes devenu propriétaires, ce sont des membres de votre famille qui devront donner leur consentement. Car, si vous l’ignorez, dans l’hypothèse votre logement vous a été donné par vos parents, ceux-ci, comme vos frères et sœurs, devront intervenir à l’acte de vente pour renoncer à leurs droits éventuels.
Il conviendra ensuite de s’interroger sur le fait de savoir si un impôt pourrait être dû suite à la vente de votre bien. Cette question est bien trop souvent éludée par des « professionnels » de l’immobilier, qui, à leur corps défendant, maîtrisent extrêmement mal ces sujets. Nous pensons bien sûr ici à l’imposition au titre des plus-values immobilières, mais pas uniquement. Savez-vous par exemple qu’il existe également une taxe sur les terrains constructibles ? En réalité il n’en existe pas une, mais deux ! Le montant de ces impositions, très souvent non négligeable, est parfois de nature à remettre en question la décision même de vendre. Or, si cela n’a pas été étudié lors de la mise en vente du bien, mais uniquement après la signature de l’avant-contrat, il sera trop tard ! Le vendeur ne bénéficie pas lui d’un droit de rétractation de 10 jours à l’instar de l’acquéreur.
Il conviendra enfin et surtout de constituer le dossier relatif à votre bien. Ce dossier, contiendra l’ensemble des éléments qui vous seront demandés pour la rédaction du compromis. Et, en la matière, l’anticipation est de mise. Dans notre pratique quotidienne, nous sommes confrontés à l’échec de transactions lié au fait que le vendeur n’a pas transmis en temps et en heures les éléments à son acquéreur. A notre sens, il n’y a rien de pire dans le cadre d’une négociation immobilière de laisser un acquéreur sans réponse aux questions qu’il peut légitimement se poser. Cela crée, bien souvent de manière infondé, une perte de confiance par l’acquéreur, voire une suspicion, de nature à réprimer sa volonté d’acquérir. Le tout, non par mauvaise foi du vendeur, mais juste par un manque d’anticipation.
Un dossier complet et analysé, comprenant l’ensemble des titres de propriété, les différents diagnostics obligatoires, les différents documents relatifs à la construction et les différentes pièces relatives à la copropriété, est l’assurance d’une transaction réussie !
Pour que cet « évènement » se déroule de la meilleure des manières, il convient de respecter certaines règles et certaines précautions, gagent d’une transaction parfaitement réussie.
S’assurer que rien ne peut empêcher la vente
La première d’entre elles, consiste évidemment à s’assurer que rien ne s’oppose à la vente de votre bien. De prime abord, la réponse peut paraître évidente, mais en y réfléchissant en détail elle ne l’est pas toujours. Parfois, et en fonction de votre situation personnelle (union libre, PACS ou mariage), le consentement de votre conjoint pourra être requis bien que vous soyez seul propriétaire de votre logement. D’autre fois, selon le moyen dont vous êtes devenu propriétaires, ce sont des membres de votre famille qui devront donner leur consentement. Car, si vous l’ignorez, dans l’hypothèse votre logement vous a été donné par vos parents, ceux-ci, comme vos frères et sœurs, devront intervenir à l’acte de vente pour renoncer à leurs droits éventuels.
S’assurer qu’il n’y aura pas de taxes à payer
Il conviendra ensuite de s’interroger sur le fait de savoir si un impôt pourrait être dû suite à la vente de votre bien. Cette question est bien trop souvent éludée par des « professionnels » de l’immobilier, qui, à leur corps défendant, maîtrisent extrêmement mal ces sujets. Nous pensons bien sûr ici à l’imposition au titre des plus-values immobilières, mais pas uniquement. Savez-vous par exemple qu’il existe également une taxe sur les terrains constructibles ? En réalité il n’en existe pas une, mais deux ! Le montant de ces impositions, très souvent non négligeable, est parfois de nature à remettre en question la décision même de vendre. Or, si cela n’a pas été étudié lors de la mise en vente du bien, mais uniquement après la signature de l’avant-contrat, il sera trop tard ! Le vendeur ne bénéficie pas lui d’un droit de rétractation de 10 jours à l’instar de l’acquéreur.
Réunir l’ensemble des documents nécessaires et obligatoires
Il conviendra enfin et surtout de constituer le dossier relatif à votre bien. Ce dossier, contiendra l’ensemble des éléments qui vous seront demandés pour la rédaction du compromis. Et, en la matière, l’anticipation est de mise. Dans notre pratique quotidienne, nous sommes confrontés à l’échec de transactions lié au fait que le vendeur n’a pas transmis en temps et en heures les éléments à son acquéreur. A notre sens, il n’y a rien de pire dans le cadre d’une négociation immobilière de laisser un acquéreur sans réponse aux questions qu’il peut légitimement se poser. Cela crée, bien souvent de manière infondé, une perte de confiance par l’acquéreur, voire une suspicion, de nature à réprimer sa volonté d’acquérir. Le tout, non par mauvaise foi du vendeur, mais juste par un manque d’anticipation.Un dossier complet et analysé, comprenant l’ensemble des titres de propriété, les différents diagnostics obligatoires, les différents documents relatifs à la construction et les différentes pièces relatives à la copropriété, est l’assurance d’une transaction réussie !